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LA CONNAISSANCE EST LA LIBERTE

L’INNOCENCE EST TOLERABLE

L’IGNORANCE EST SUICIDAIRE

1       Nécessité de la connaissance

L’homme a la faculté de connaître : donc, il peut être libre[i]

Popper, p. 25

Nous avons vu dans notre article « Tu as les capacités de changer ta vie si tu le veux » (voir www.lesgreniers.net/) que :

- chaque être veut faire quelque chose de sa VIE. Au moins il veut rester en vie, sauvegarder sa vie, il ne veut pas mourir. C’est une évidence partagée par tous les êtres (être dans le sens biologique), et

- chaque unité d’expérimentation de la vie dispose de tous les autres unités d’expérimentation de la vie pour réaliser son expérimentation de la vie.

 

 

 Ta as les capacités de changer ta vie si tu le veux

évidence partagée : chaque individu choisit sa finalité

Chaque être veut faire quelque chose de sa VIE.

Au moins il veut rester en vie, sauvegarder sa vie, il ne veut pas mourir.

C’est une évidence partagée par tous les êtres (être dans le sens biologique).

Ce que l’être veut faire de sa vie, nous le nommons « finalité » pour les besoins de ces écrits.

Egalement, nous nommons l’être distingué « individu ».

Pour réaliser sa finalité, l’individu doit agir. L’action est un mouvement.

En physique, tout mouvement nécessite de l’énergie.

Es-tu satisfait (toi en tant qu’individu) de tes mouvements vers ta finalité ?

Si la réponse est oui, alors ces écrits ne sont pas pour toi.

Tu peux tout de même rester, si tu le souhaites. Si la réponse est non, alors ces écrits sont pour toi.

Avant d’aller plus loin présentes ton individu à toi-même.

Si tu veux changer les mouvements d’un individu, il faut connaître l’individu.

Tu es un HUMAIN, homme ou femme, d’un âge donné, disposant des RESSOURCES données,

et évoluant dans un ENVIRONNEMENT donné présentement.

Vie

La VIE[1] est une capacité de réaliser une œuvre que le « CREATEUR » matérialise dans chaque unité de vie[2].

Une unité de vie appartient à l’un des 4 groupes que l’entendement humain peut cerner :

unités minérales, unités végétales, unités animales, unités humaines.

Pour moi, chaque unité de vie qui reçoit la VIE fait une expérimentation.

Aussi, pour la suite des écrits, nous utiliserons le terme « expérimentation de la vie » au lieu de « VIE ».

Chaque unité de vie dispose des capacités suffisantes pour réaliser son œuvre, c’est-à-dire sa finalité.

C’est valable pour toi comme pour moi. C’est une évidence.

Les attributs de la vie sont :

  • unique, individuelle et libre,
  • utilisation et non possession,
  • mouvement,
  • coopération. 

Humain

L’humain est une unité qui expérimente la vie. Il est composé d’une âme, d’un esprit et d’un corps.

Les attributs de l’humain sont :

  • unique,
  • parfait et doté de capacités illimitées,
  • égaux les uns aux autres.

Ressources de l’humain

Les ressources sont :

  1. le temps,
  2. les énergies internes : énergies de l’esprit et énergies du corps,
  3. les énergies de l’environnement.

Les énergies internes sont au nombre de quatre :

  1. l’énergie « esprit-conscience »,
  2. l’énergie « esprit-mental »,
  3. l’énergie « esprit-savoir »,
  4. l’énergie « corps-mécanique ».

Environnement

L’environnement comprend les unités de vie humaine, animale, végétale et minérale.

Il fournit à l’individu les énergies dont il a besoin pour expérimenter la vie.

Chaque unité d’expérimentation de la vie dispose de tous les autres unités d’expérimentation de la vie pour réaliser son expérimentation de la vie.

Les unités de vie de l’environnement ou d’un environnement (c’est-à-dire une niche) sont en interaction permanente.

Quelle que soit l’action d’un individu, l’environnement s’auto-ajuste pour équilibrer l’ensemble. 

[1] Je distingue la VIE de la vie. La vie est la durée entre la naissance et la mort.

[2] Je renvoie le lecteur à mes deux livres publiés chez Harmattan :

Continuité de l’espèce humaine – l’humai face à lui-même, et Les sentiers de la référence – Révéler ce que je suis et contribuer à la continuité de l’expérimentation de la vie.

1 Les sentiers de référence – Révéler ce que je suis et contribuer à la continuité de l’expérimentation de la vie

Les sentiers de la référence – Révéler ce que je suis et contribuer à la continuité de l’expérimentation de la vie, deuxième livre d’une trilogie (le premier livre s’intitule : Continuité de l’espèce humaine – l’humain face à lui-même, Harmattan 2015), contient des théories et des techniques qui vous « accompagneront » tout au long de votre sentier pour être libre par rapport à vous-même, ensuite pour exprimer pleinement votre nature d’unité de vie humaine, et enfin pour devenir un humain « complet ». Elles vous permettront également de vous connaitre, de reconnaître et de développer vos ressources, de chercher et de trouver votre finalité (le sens de votre VIE), de vous mettre en dynamique afin de révéler la REFERENCE en vous. Votre récompense ultime, en lisant ce livre, sera de développer votre personne au point de vivre la sagesse.Ainsi, vous serez capable de transmettre ce que vous êtes et vous disposerez des aptitudes nécessaires pour vivre de façon durable avec votre environnement.

2    Continuité de l’espèce humaine – l’humain face à lui-même 

Voici ce que prophétisait G. Orwell dans son livre 1984 : « Commencez-vous à voir quelle sorte de monde nous créons ? Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d’écraseurs et d’écrasés, un monde qui, au fur et à mesure qu’il s’affinera, deviendra plus impitoyable. (…). L’ancienne civilisation prétendait être fondée sur l’amour et la justice. La nôtre est fondée sur la haine ». C’est triste de reconnaître au XXI ème siècle qu’Orwell fut un imminent « saltigué » (liseur d’avenir). En effet partout sur la surface de la terre habitée par des humains, dans les contrées riches des USA ou pauvres du Sénégal, les humains n’ont plus espoir pour demain.

Aucune matière, aucun élément n’est responsable de cette situation. Chaque humain, toi comme moi, en est individuellement responsable, et tous les humains en sont solidairement responsables.

En lisant ce livre, premier d’une trilogie, tu comprendras comment tu as participé avec tes frères et tes sœurs à faire naître et à nourrir cette situation. Tu disposeras alors du choix d’arrêter.